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Série - Autres membres de la famille Leclère | Musée McCord
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Autres membres de la famille Leclère

Série

Autres membres de la famille Leclère
Date 1907-1938
Dimensions0,7 cm de documents textuels
Classification[not assigned]
Numéro d'accessionP731/F
CollectionMcCord
CréditCe document a été numérisé grâce au généreux soutien de la Financière Sun Life
Portée et Contenu

Cette série porte sur des membres des familles Turgeon et Leclère, apparentées par le mariage en 1855 de Georges Samuel Leclère et de Corinne Turgeon. Elle est constituée de trois lettres et de deux coupures de presse.

Deux des trois lettres ont été rédigées par Oscar Turgeon, probablement le frère de Corinne Turgeon. La première, envoyée de Montréal le 9 mai 1907, est destinée à sa nièce Gabrielle Leclère à l’occasion de la première communion de la jeune fille. La missive d’Oscar Turgeon, qui s’y révèle comme un homme très pieux, insiste auprès de la future première communiante sur l’importance de la grande étape qu’elle s’apprête à franchir. Ses vœux s’accompagnent de quelques recommandations morales : « […] sois toujours bien respectueuse envers ta grand-maman, toujours obéissante à ta bonne petite mère, donnant toujours le bon exemple à tes sœurs et surtout à ton jeune frère. » La deuxième, datée du 22 mars 1910, s’adresse de manière plus succincte à son neveu Georges Adolphe Leclère dans les mêmes circonstances.

La troisième lettre, envoyée en mars 1938 à Mme Rodolphe Roy au 338 Grande Allée, à Québec, lui parvient de son cousin Isaïe. Ce dernier lui transmet un article de presse intitulé « Les patriotes de Terrebonne », publié sous la rubrique « Les causes célèbres ». Le texte traite du rôle de Charles-Guillaume Bouc lors du soulèvement de novembre 1838 à Terrebonne et d’un traité de paix qui aurait dû clore cette insurrection à l’amiable, mais qui ne fut pas respecté et qui mena finalement le rebelle à l’exil. Il y est question, dans le camp opposé à Bouc et ses compagnons d’armes, de Joseph-Octave-Alfred Turgeon – major dans la milice et, incidemment, cousin germain de l’insurgé –, ainsi que du « chef de police Leclère, de Montréal » (fort probablement Pierre-Édouard Leclère, père), ce qui pourrait expliquer pourquoi Isaïe a souhaité porter ce texte à l’attention de sa cousine.

La deuxième coupure de presse annonce le décès en France de l’abbé Louis-Gustave Leclère de La Frenaye, fils de Georges Samuel Leclère et de Corinne Turgeon. On y apprend qu’il a passé la majeure partie de sa carrière ecclésiastique à l’archidiocèse de Paris, après avoir exercé son ministère pendant quelque temps au Canada à Oka et à Saint-Patrice. Parmi les personnes apparentées mentionnées dans la notice nécrologique figurent ses frères Charles, architecte à New York, Joseph, Georges et Eugène, ses sœurs Mme Philippe Vallerand, de Québec, et Mme Dr Paul Royal, de Lorette au Manitoba, et neuf neveux et nièces, dont Mme Lepoutre.


Notes

Source du titre : Basé sur les créateurs des documents.

Langue des documents : Les documents sont en français.

 

Dernière mise à jour : 28 février 2023


Status
Non exposé

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