Skip to main contentEnsemble | Musée McCord Collections en ligne | Musée McCord - Musée d’histoire sociale de Montréal
Ensemble
Fabricant
Inconnu / Unknown
Fabricant
Henry Marshall
MarquesPrinted label applied to right shoe insole: BY APPOINTMENT TO HER MAJESTY / HENRY MARSHALL / LATE / PATTISON, / BOOTMAKER. / TO / H.R.H. Duchess of Edinburgh / H.R.H. Princess Louis of Hesse / H.R.H. Princess Christian / 74 Oxford Street / LONDON.
Date
Vers 1910
Médium / Technique
Velours de soie, satin de soie, soie de Chine, tulle de soie, taffetas de soie, cuir, faille de soie, armure toile de coton, bougran, bordure métallique dorée, entoilage, perles de nacre, strass de verre, monture en métal doré, franges en métal doré, bout
Dimensions.1) Corsage : 48,8 cm (longueur) ; buste : 77,4 cm (circonférence) ; manche extérieure : 80,1 cm (longueur) ; manche intérieure : 54,3 cm (longueur)
.2.1) Jupe : 155,6 cm × 95,4 cm (longueur × largeur)
.2.2) Sac à main : 42,1 cm × 21,7 cm (longueur ×
ClassificationObjets personnels-Vêtements-Vêtements principaux
Origin
London, Londres, Grand Londres, Angleterre, Europe
Numéro d'accessionM2014.111.97.1-4
CollectionMcCord
CréditDon de Katherine Cleaver
NotesExposition Bals costumés - Habiller l’Histoire, 1870-1927
Une dame de l’ère Tudor
Les personnages de l’ère Tudor sont aussi très populaires. La coiffe en gable, un modèle anglais en vogue durant la première moitié du 16e siècle, ne laisse aucun doute sur la période que souhaitait évoquer celle qui l’a portée. Les pierres de verre, les fausses perles et les franges en lingots sont des décorations exceptionnellement somptueuses. Les chaussures, remontant aux années 1870, ont peut-être été ajoutées au costume ultérieurement, ou existaient depuis plusieurs décennies lorsque la femme non identifiée sur la photographie les a portées.
Une dame de l’ère Tudor
Les personnages de l’ère Tudor sont aussi très populaires. La coiffe en gable, un modèle anglais en vogue durant la première moitié du 16e siècle, ne laisse aucun doute sur la période que souhaitait évoquer celle qui l’a portée. Les pierres de verre, les fausses perles et les franges en lingots sont des décorations exceptionnellement somptueuses. Les chaussures, remontant aux années 1870, ont peut-être été ajoutées au costume ultérieurement, ou existaient depuis plusieurs décennies lorsque la femme non identifiée sur la photographie les a portées.
Status
ExposéL’information sur les objets de nos collections est mise à jour afin de refléter les résultats de nouvelles recherches. Si vous avez des renseignements au sujet de cet objet à nous communiquer, veuillez faire parvenir un courriel à reference.mccord@mccord-stewart.ca.L’information au sujet des droits d’auteur et des reproductions se trouve ici.
Ce projet est rendu possible grâce au généreux soutien de la Fondation Azrieli et de Patrimoine canadien.